Marianne trouve ses influences dans l’histoire de la peinture de paysage, le cinéma, la nouvelle objectivité allemande, le postmodernisme et plus récemment la méta-photographie.
Son questionnement se porte sur l’espace, la mise en espace et notre rapport à celui-ci.
Elle montre un réel sans fard, et tend à notre société un miroir froid. Elle s’attarde sur des lieux publics sans identités, des espaces transitionnels et nous invite à la contemplation, comme cette station essence façon Hopper.
Citation de l’artiste : « Je m’approprie le contexte de mon environnement, et vous invite à la contemplation ».